Au début des années 1760, la chaudière déterminait un abri de grosse installation dans les moyens de transport à vapeur. Depuis quelques dizaines d’années, la chaudière désigne un équipement qui génère de l’eau chaude et réchauffe une maison entière. Sur le marché, il existe environ six types de chaudière. Avant de choisir cet aménagement, l’évaluation des besoins quotidiens est impérieuse. Avant l’installation, pendant les entretiens et après chaque échéance, voici le meilleur guide sur tout ce qui concerne le contrat d’entretien de chaudière.
Tout sur le contrat d’entretien de chaudière
Un contrat d’entretien de chaudière est un engagement contractuel entre un particulier ou une entreprise avec un prestataire de service. Chaque année, à la même date, l’entretien consiste à surveiller son fonctionnement et à assurer l’absence de danger pour les habitants d’un logement. L’objet du contrat est de transmettre les désagréments au sujet de la garantie de l’appareil de chauffage à un professionnel. Celui-ci se charge de la maintenance chaudière à gaz. Pour plus de détails, il est conseillé de visiter ce site web : www.bf-depannage-dijon.fr. Le contrat existe sous deux types :
- Le contrat simplifié ne consiste pas à vérifier le conduit de fumée et ne comprend pas le nettoyage mécanique. Pourtant, une canalisation percée engendre une intoxication austère au monoxyde de carbone.
- Le contrat complet est plus cher, mais plus sécuritaire pour les équipements, le foyer et les occupants. Il comprend : le changement des pièces endommagées, la vérification du monoxyde de carbone, les dépannages, l’entretien annuel et la remise de l’attestation d’entretien.
Au cours de l’installation de la chaudière, certains professionnels ne proposent que les offres chères. Afin de ne pas tomber dans ce piège, il est important de consulter les formules existantes. D’où la nécessité de se souscrire à un contrat d’entretien qui propose des prestations élémentaires et moins coûteuses, mais qui assure une protection similaire.
Les droits et les responsabilités selon la loi
La maintenance chaudière gaz ou à fioul est régit par la loi dans toute la France. À l’instar de la révision de chaudière Villiers-sur-Orge, elle possède un caractère obligatoire et doit être réalisée par un professionnel. Dans ces conditions, un contrat d’entretien est soumis à des règles qui sont décrits dans ce guide. La puissance de certaines chaudières dépasse le seuil fixé. Par conséquent, des contrôles systématiques sont définis par le code de l’environnement.
Le client a comme obligation de payer contre la prestation de l’artisan professionnel. Aussi, il garantit l’assurance de la maintenance avec l’attestation d’entretien qui lui a été remise. Tandis que, l’entreprise fait le nécessaire pour que la chaudière soit opérationnelle. Elle effectue les réparations fondamentales et relaye les pièces défectueuses. En outre, le chauffagiste fixe le rendez-vous annuel pour l’entretien. Durant cette période de maintenance, le professionnel nettoie toute l’installation et contrôle les dispositifs de régulation. En surcroît, il démonte et nettoie le brûleur. En somme, il vérifie les étapes de combustion et délivre le bulletin de visite.
Les détails sur les obligations légales
Quelques détails doivent être inscrits dans le contrat :
- Le prix dépend des options choisies et varie selon le niveau de prestations proposées ;
- Le niveau de service présenté ;
- Les différents privilèges qui s’ajoutent à la prestation finale ;
- La variation des jours d’intervention et du délai. Il est primordial de lire toutes les clauses écrites dans le contrat ;
- Les modes de paiement dépendent du client. Il a le choix de payer annuellement ou par tranche.
En cas de chauffage individuel, le locataire prendra en charge le paiement du contrat. A contrario, si la maison dispose d’un chauffage collectif, le propriétaire payera le contrat.
En cas de résiliation et de litige
Généralement, un contrat d’entretien chauffage débute à la date de souscription. Ce contrat est soumis à une tacite reconduction. Environ un mois avant l’échéance, le prestataire prévient son client. D’après l’article L215-1 du Code de la consommation, si le prestataire n’envoie aucun avis d’échéance, le client peut résilier à tout moment et sans frais. La résiliation s’opère par une lettre recommandée avec accusé de réception. Si le client décide de résilier le contrat à une date hors échéance, il doit présenter une pièce justificative avec la lettre de résiliation. Aussi, certains prestataires exposent des contrats annuels qui ne présentent aucun engagement. Par conséquent, toutes les étapes à suivre sont enregistrées dans le contrat général de vente.
En cas de litige, quelques étapes importantes sont à suivre. D’abord, essayer de résoudre le problème à l’amiable. Ensuite, si cette première méthode achoppe, la partie lésée a comme obligation d’expédier une lettre de mise en cause pour lui remémorer ses engagements. S’il n’y a aucune réponse sous 8 jours, la prochaine étape est de transmettre une lettre de mise en demeure au greffe du tribunal. Enfin, si les étapes précédentes ont échoué, le dernier recours est de saisir le tribunal compétent afin de trancher le litige.